La Communauté de Communes de l’Outre-Forêt, dont le siège se trouve à Hohwiller, a été créée le 1er janvier 2014 et regroupe les communes de :
Mairie de Aschbach – 1 rue Principale – 67250 Aschbach – 03 88 80 00 61
Aschbach est durant des siècles une possession de l’évêque de Spire.
Evoqué pour la première fois en 1314, Aschbach appartient alors en fief aux seigneurs de Windstein, vassaux des comptes de Deux-ponts, et fait partie, avec ses voisins d’Oberroedern et Stundwiller, de l’Oberamt Lauterbourg, structure administrative qui s’étend des deux côtés du Bienwald. Ces trois villages forment d’ailleurs dès 1376 l’Obergericht. L’église paroissiale a été construite entre 1869 et 1871 par l’architecte Roehrig de Wissembourg.
Evacuée en 1939, la localité subit d’importants dégâts lors de la bataille autour de la ligne Maginot en juin 1940 et est sinistrée aux deux tiers lors des combats de janvier 1945.
Au cours de la dernière décennie, la commune a investi dans la construction au centre du village d’un nouveau bâtiment « maison commune », hébergeant à la fois la mairie et la salle des fêtes.
Mairie de Betschdorf – 1 rue des Francs – 67660 Betschdorf – 03 88 54 48 00
Betschdorf est un site déjà occupé par les Celtes et les Romains. Au haut Moyen Âge, le village fait partie de la seigneurie du Hattgau (chef-lieu Hatten). En 1332, il passe sous contrôle des Lichtenberg puis des Hanau-Lichtenberg. Le village se range du côté des Rustauds en 1525 et sera durement pénalisé.
En 1586 arrive un certain Knoetchen, potier allemand qui apporte avec lui le secret de fabrication de la poterie de grès. Le long de la Sauer se trouve en quantité de la terre argileuse. Rapidement, Betschdorf devient un centre de production et fournit la vaisselle d’une bonne partie de la région.
En 1717 une autre vague de potiers venus de Rhénanie s’y installe. Depuis le village lie sa prospérité à cette poterie, d’une notoriété comparable à celle de Soufflenheim, caractérisée par les pièces de grès gris à décor bleu vernissées par projection de sel lors de la cuisson.
Les 13 artisans qui subsistent encore utilisent la technique ancestrale de grès verni au sel, ce qui rend les pièces étanches et permet ainsi la conservation des aliments.
Jusqu’au 13 mars 1971, Betschdorf était scindé en deux communes, Oberbetschdorf et Niederbetschdorf, qui ont fusionné à cette date. Il est rejoint le 1er juillet 1972 par les villages de Kuhlendorf, Reimerswiller et Schwabwiller qui fusionnent avec la commune et deviennent des communes associées.
Mairie de Hatten – 1 Place de la Mairie – 67690 Hatten – 03 88 80 00 26
Les origines de Hatten remontent en l’an 808, où la localité est citée pour la première fois dans la Charte de l’Abbaye de Wissembourg.
Au Moyen Age, Hatten sera le centre du Hattgau, regroupant 8 villages des alentours. Les seigneurs de Lichtenberg construisirent un château qui sera détruit en 1793…
Janvier 1945 : Hatten sera le centre d’une violente bataille opposant Américains et Allemands durant 12 jours détruisant complètement le village, dont la reconstruction s’achèvera en 1966 seulement.
Mairie de Hermerswiller – 22 rue Principale – 67250 Hermerswiller – 03 88 80 40 23
Hermerswiller est un des rares villages a avoir conservé un puits collectif (situé rue de la Fontaine). Il est entouré d’un ensemble de maisons datant du XVIIe et XVIIIe siècle. Le forage fut l’œuvre du puisatier de Soultz-sous-forêts. Chaque coup de balancier déverse environ un litre d’eau.
Le bâtiment date de 1833. Au rez-de-chaussée sont installées la mairie, une buanderie, une cave et une étable rappelant que l’instituteur Stell exerça son métier pendant 37 ans tout en pratiquant l’agriculture. A l’étage se trouvent la salle de classe ainsi que l’ancien logement de l’enseignant. L’originalité du bâtiment est son clocher. En effet, la cloche peut être actionnée depuis la salle de classe. Elle annonçait ainsi l’Angélus quatre fois par jour, auquel s’ajoutaient également les cérémonies religieuses, car Hermerswiller ne dispose pas d’édifice cultuel. Les paroissiens protestants relèvent de l’église de Hohwiller et les catholiques se rendent à celle de Soultz-sous-Forêts.
Mairie de Hoffen – 14 rue des Eglises – 67250 Hoffen – 03 88 80 40 47
L’actuelle commune est issue de la fusion, en 1974, des trois localités : Hoffen, Leiterswiller et Hermerswiller. L’actuelle mairie est maintenant située à Leiterswiller dans un des bâtiments de la cité militaire.
La rue du Tilleul est remarquable et très pittoresque avec son alignement de maisons à pans de bois et la constance de la disposition des constructions.
La mairie, construite au début du XIXe siècle, fut agrandie en 1854. Cette adjonction qui comporte au rez-de-chaussée un porche soutenu par trois colonnes en bois, abritait une remise pour les pompes à incendie.La partie préexistante était réservée au pressoir à cidre. A l’étage, se trouvaient la salle des délibérations, le local des archives, le logement de l’appariteur et une prison.
Mairie de Keffenach – 20 rue Principale – 67250 Keffenach – 03 88 80 42 34
Cité pour la première fois en 1312 comme fief des Ochstenstein, Keffenach passa aux seigneurs des Fleckenstein en 1348 et aux Puller de Hohenbourg. Mais les Lichtenberg finirent par avoir des droits importants sur la localité. En 1480, ces droits passèrent aux mains des Deux-Ponts-Bitche avant de revenir aux Hanau-Lichtenberg.
Datant de 1769, le bâtiment présente une belle architecture en pierre de taille alors que toutes les maisons environnantes sont en pans de bois. Il est devenu « la mairie » en 2005 date à laquelle le presbytère, propriété de la commune, a été réhabilité et transformé. La mairie est installée au rez-de-chaussée. L’étage réaménagé en logement garde le statut de « presbytère »; une pièce pour les archives et petites réunions est à la disposition de la paroisse dans le sous-sol du bâtiment. L’accès à ces deux lieux se fait par l’arrière du bâtiment.
L’ école fut construite en 1883 à l’endroit où s’élevait une maison qui servit d’école protestante à partir de 1850. Partagé avec la Mairie, le bâtiment est devenu uniquement « école » depuis la rentrée scolaire de septembre 2005. En effet, la mairie ayant déménagé dans l’ancien presbytère, la salle de classe est devenue plus spacieuse car elle occupe tout le rez-de-chaussée suite à des travaux d’agrandissement faits en été 2005. Les deux étages abritent deux logements communaux.
L’église catholique date de 1865. A l’intérieur on remarque un tableau du XVIIIe siècle représentant St Georges combattant le dragon qui est vraisemblablement dû au peintre alsacien Carola SORG.
Mairie de Betschdorf – 1 rue des Francs – 67660 Betschdorf – 03 88 54 48 00
Kuhlendorf est une ancienne commune française du Bas-Rhin, associée à Betschdorf depuis 1972.
Ses habitants sont appelés les Kuhlendorfois.
Mairie de Leiterswiller – 14 Rue des Églises Leiterswiller – 67250 Hoffen – 03 88 80 40 47
C’est en 1974 que les trois localités de Leiterswiller, Hermerswiller et Hoffen, fusionnent en une seule commune. La mairie de Hoffen-Leiterswiller se trouve rue des Eglises à Leiterswiller.
L’église protestante date de 1189 et fut d’abord dédiée à St Gilles, puis le patron devint St André. Perchée au centre du village, elle servit aux cultes catholique et protestant entre 1693 et 1896, date de construciton de l’église catholique actuelle. La tribune décorée de motifs végétaux peints et les bancs de chêne datent de 1804. Elle présente la particularité d’avoir le clocheton bâti en colombage alors que le reste fut construit en moellons.
L’église catholique fut construite avec l’aide du curé de Rittershoffen et date de 1893. Elle est entièrement bâtie en grès des Vosges, les pierres proviennent des carrières de Langensoultzbach. L’inauguration eut lieu en 1897.
La Ligne Maginot ; La cité des Cadres date des années 1930 et comprend huit bâtiments. Elle fut construite parallèlement à la ligne Maginot, sur les crédits de l’armée, pour loger les officiers supervisant les chantiers. Pendant la 2ème guerre mondiale l’école maternelle y était installée et les logements attribués à des civils.
Mairie de Memmelshoffen – 27 rue Principale – 67250 Memmelshoffen – 03 88 80 41 03
Origine du nom : de l’anthroponyme germanique « Mimilo » et du germanique « Hof » qui signifie cour de ferme.
Occupé depuis la préhistoire, Memmelshoffen recèle des vestiges archéologiques dont certaines pièces sont exposées au musée de Niederbronn-les-Bains, notamment deux bracelets datant de l’âge de bronze.
Au Moyen Age, le village est intégré dans la seigneurie des Fleckenstein, partagée avec les Puller Hohenbourg. Memmelshoffen se situe alors dans le Kirchspiel de Soultz-sous-Forêts, c’est-à-dire qu’ils forment une seule paroisse dépendant du fief de l’archevêché de Cologne.
Récemment l’augmentation de la population et la construction de nouvelles habitations a provoqué l’intégration du hameau de Meisenthal à Memelshoffen. Les deux ne forment donc plus qu’une seule agglomération. La Mairie-Ecole date de 1840 environ.
L’église paroissiale Ste Catherine date de la moitié du XVIIIe siècle et a été modifiée en 1861. Le clocher en charpente essenté d’ardoise repose sur des piliers en bois, visibles à l’intérieur de l’édifice.
Le monument aux morts a été édifié dans le style des années 1930. Construit en grès, il rend hommage aux victimes de la guerre 1939-1945.
Mairie de Oberroedern – 43 Rue Principale – 67250 Oberroedern – 03.88.80.01.35
Oberroedern est un village alsacien dont l’histoire remonte au XIe-XIIe siècle. Fondé par les moines de Münchhausen, il était initialement situé dans le bailliage épiscopal de Lauterbourg, au sein de l’évêché de Spire. Au XVIIIe siècle, Oberroedern, Aschbach et Stundwiller ont été regroupés pour former l’Obergericht.
Au début du XXe siècle, le village a été marqué par la construction de la Ligne Maginot. Le camp d’Oberroedern et de nombreux ouvrages ont été construits sur le ban communal. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Oberroedern a été occupé par les Allemands et a subi d’importants dommages en raison de sa proximité avec la ligne Maginot. En juin 1940, juste avant l’armistice, le village a été attaqué par la 246è division d’infanterie. En janvier 1945, lors de la bataille de Hatten-Rittershoffen sous l’opération Nordwind, Oberroedern a de nouveau subi d’importantes destructions.
Après la guerre, le village a été reconstruit et a connu une période de modernisation et de développement. Aujourd’hui, Oberroedern est un village paisible avec une vie associative active.
Mairie de Retschwiller – 1 Rue de l’École – 67250 Retschwiller – 03.88.54.71.90
Le village de Retschwiller qui ne possède pas d’église, a toujours été rattaché à la paroisse de Soultz-sous-Forêts. Cité en 1274, le village fit partie des biens des Fleckenstein. Aujourd’hui il se caractérise par un habitat bien conservé, composé principalement de grandes fermes à cour ouverte datant des XVIIIe et XIXe siècles.
La Mairie-Ecole construite en pierre de taille et en briques, elle comporte deux avants corps couronnés de pignons à redents et volutes. La girouette porte la date de 1891.
La maisonnette de Garde-Vigne date du XVIIIe siècle. Implantée sur les hauteurs dominant Soultz-sous-Forêts, elle constitue le seul témoin de la viticulture très répandue autrefois en cette contrée. Au mois de septembre, au moment de la maturation, le vignoble était fermé afin de préserver le raisin des vols. Un garde-vignes ou « bangarde », officier municipal, était chargé de la surveillance et logeait en permanence dans cette maisonnette dominant le vignoble.
Mairie de Betschdorf – 1 rue des Francs – 67660 Betschdorf – 03 88 54 48 00
Reimerswiller est une ancienne commune française du Bas-Rhin, associée à Betschdorf depuis 1972.
Mairie de Rittershofen – Place Anne Frank Neumann – 67690 Rittershoffen – 03 88 80 00 31
Rittershoffen est cité pour la première fois en 1227 en tant que fief de l’Empire. Elle appartient successivement aux Lichtenberg et aux Fleckenstein.
Au milieu du XVIème, les Hanau-Lichtenberg l’acquièrent et y introduisent la réforme en 1545, mais dès 1685, année de la révocation de l’Edit de Nantes, un simultaneum est mis en place.
L’Eglise mixte, construite en 1787, est détruite avec tout le village au cours de la bataille de chars en janvier 1945 ; le mur de l’ancien presbytère protestant porte encore les impacts de balles témoignant de la violence des combats. La nouvelle Eglise protestante est édifiée à son emplacement.
Mairie de Schoenenbourg – 1 rue de la Mairie – 67250 Schoenenbourg – 03 88 80 42 13
L’origine du nom de Schoenenbourg vient du vieil allemand « schoen » beau et du germanique « burg » château ou forteresse.
Schoenenbourg est un village agricole accroché à une colline de loess. Il est fort probable que la butte à proximité de la localité constitue une ancienne motte castrale et qu’un château fort en bois s’élevait à cet endroit dans le Haut Moyen Age. La localité est citée pour la première fois en 1277. Elle faisait alors partie du domaine de l’abbaye de Wissembourg.
Plus tard elle fut rattachée à l’évêché de Spire et devint partiellement la propriété des Holzapfel de Herxheim. En 1714 l’autre moitié du village est cédée à un officier lorrain noble, Jean de Nemery (la pierre tombale de son fils est visible sur le mur de l’église). En 1775 le village est cédé à Antoine Le Bel, propriétaire de Pechelbronn, mais la Révolution lui confisque ce bien national.
En 1939, au début de la Seconde Guerre Mondiale, le village est évacué en Haute-Vienne. L’ancienne église du XVIIIe siècle est détruite par les bombardements de 1945 et il ne subsistera que la base du clocher.
Le village se caractérise par un intéressant habitat de style traditionnel. La rue du Tilleul est bordée de belles maisons à colombage datant du XVIIe et XVIIIe siècles.
Mairie de Betschdorf – 1 rue des Francs – 67660 Betschdorf – 03 88 54 48 00
Schwabwiller est une ancienne commune française du Bas-Rhin, associée à Betschdorf depuis 1972.
Mairie de Soultz-sous-forêts – 2 rue des Barons de Fleckenstein – 67250 Soultz-sous-forêts – 03 88 80 40 42
Origine du nom : du vieux haut allemand : « sulza » qui signifie eau salée.
Au XIIIe siècle, la localité forme le centre administratif de la seigneurie des Fleckenstein et Puller de Hohenbourg, établi autour du château fort du Fleckenstein, bâti à l’entrée sud (1274) mais disparu au XVIIe siècle, lors de la guerre de succession de Hollande.
En 1346 la localité est érigée au rang de « ville » et entourée d’une enceinte fortifiée sur autorisation de l’empereur Louis de Bavière. Ce privilège fut confirmé par son successeur Charles de Luxembourg en 1348 qui de surcroît permettra à quatre familles juives de s’y établir. Soultz doit sa réputation à la saline, puits d’eau salée situé dans les fossés de l’ancien château fort. Son exploitation remonte au XVIe siècle mais fut surtout intensive sous le Baron de Bode et durant la Révolution. Elle disparut en 1842.
A la fin du XVe siècle, les Fleckenstein deviennent les seuls maîtres de la Seigneurie … en abandonnant leurs droits sur le Hattgau.
Au XVIIe siècle, les commerçants et artisans de Soultz forment déjà un noyau d’activité appréciable.
Le XVIIIe siècle constitue un tournant pour la localité.
La saline, puits d’eau salée situé dans les fossés de l’ancien château fort, contribue à la réputation de Soultz. Son exploitation remonte au XVIe siècle, mais est surtout intensive sous le Baron de Bode et durant la Révolution. Elle disparaît en 1842.
Soultz devient Soultz-sous-Forêts en 1750. Cette précision est nécessitée par la poste aux chevaux.
Le 15 janvier 1790, Soultz-sous-Forêts est désigné comme chef-lieu de canton. Ce nouveau statut permet à la localité de vivre un nouvel essor adossé à l’administration cantonale.
Le XIXe siècle est celui de « l’âge d’or » de la commune. Le bourg devient une vraie petite ville sur le plan urbanistique. L’activité commerciale et artisanale se développe et Soultz-sous-Forêts obtient l’autorisation de tenir un marché. L’administration cantonale joue pleinement son rôle. Le chemin de fer, soutenu par Frédéric Muntz, le maire de l’époque, entre pour la première fois en gare de Soultz le 25 août 1855 à 11 heures 30.
Le XXe siècle est plus difficile et plus contrasté. C’est le siècle du développement puis du déclin de l’exploitation pétrolière. La première partie de siècle est encore marquée par quelques avancées significatives comme l’adduction d’eau en 1924.
Le bombardement du 30 décembre 1944 met grandement à mal la structure urbaine du bourg.
L’après-guerre est pleine de contrastes. L’implantation de deux usines importantes dans les années 60 assure une prospérité qui ne se dément pas. Dans les années 70, la construction d’un supermarché au centre ville est une bouffée d’oxygène pour le commerce de centre ville … sauf qu’il faut détruire le château de Bode pour l’ériger.
Les années 70 voient également s’ériger un nouveau concurrent au centre de l’Outre Forêt : la commune de Betschdorf. Après plusieurs fusions, elle devient la deuxième localité de l’arrondissement, après Wissembourg.
En 1982, Hohwiller associe son destin à celui de Soultz-sous-Forêts.
A partir des années 90, Soultz-sous-Forêts sort de sa léthargie.. Zone d’activité, caserne de pompiers, maison de retraite, Relais Culturel de La Saline, Médiathèque, les projets se multiplient et redonnent une nouvelle identité et une nouvelle attractivité à la localité.
En 2002 Soultz-sous-Forêts est membre fondateur de la communauté de communes du Soultzerland.
A compter du 1er janvier 2014, les communautés de communes du Soultzerland et du Hattgau fusionnent pour créer la communauté de communes de l’Outre-Forêt.
Mairie de Stundwiller – 15 rue Principale – 67250 Stundwiller – 03 88 80 00 30
Stundwiller est cité pour la première fois en 1397. Le village fait alors partie du baillage de Lauterbourg, fief du prince évêque de Spire il forme avec Aschbach et Oberroedern un tribunal mentionné dès 1376.
Tout au long du XVème siècle, les Seigneurs de Winstein y ont des possessions, en fief des Deux-Ponts et des Ochenstein. En 1939, les habitants sont évacués et regroupés en Haute-Vienne, le village sera détruit au quatre cinquième. Entre 1965 et 1967, l’église et la Mairie seront rendues à leur fonction respective.
Mairie de Surbourg – 2 rue du Général de Gaulle – 67250 Surbourg – 03 88 80 42 60
D’après la légende, le village de Surbourg se serait développé autour d’un ermitage du Vle siècle où séjournait St Arbogast. L’abbaye devint bénédictine au Xe siècle et le village s’établit autour de ce lieu de prière. En 1313 la localité appartient au bailliage impérial de Haguenau qui le gardera jusqu’à la Révolution. Toutefois les Fleckenstein y détiendront des droits importants.
A Surbourg vivait une forte communauté juive depuis 1550. La synagogue qui existait dans ce village en 1770 a aujourd’hui disparu. Le Rabbinat fut transféré à Soultz-sous-Forêts en 1865. En 1945, la mairie du village, qui datait du milieu du XlXe siècle, fut détruite dans les bombardements.
L’habitat à Surbourg présente, dans le centre du village, quelques caractéristiques propres : en retrait de la rue, le logis est souvent plus large que dans les autres villages et les propriétés sont plus imposantes.
4 rue de l’École
67250 HOHWILLER
Tél. 03 88 05 61 10
Service ordures ménagères
Tél. 03 88 05 69 46
Lundi – jeudi
8h00 – 12h00 et 13h30 – 17h00
Mardi
13h30 – 17h00
Mercredi – vendredi
8h00 – 12h00 et 13h30 – 16h00